Méditation de la semaine : Novembre 2017
Méditation de la semaine : dimanche 5 novembre 2017
Dans une étude sur Jésus, un dimanche, notre frère Arlin a dit : « le péché nous déshumanise ».
Cette phrase m’a fortement touché. « Déshumanise… » : ça donne un coup, n’est-ce pas ?
Sans humanité, évanouie la dignité ; évanoui le caractère humain.
L’auteur François Mauriac, auteur notamment de ‘Dieu et Mammon’, a écrit : « Je mourrai étouffé par ce monde déshumanisé ».
Peut-être aurait-t-il pu écrire : «Je me meurs sans Dieu, éloigné d’un monde sans accord,
étouffé par le conformisme, éloigné de la conformité à Dieu ». Peut-être… !
Bien que Mauriac soit mort, sa pensée conserve toute sa force dans notre époque déçue, époque d’un monde déchu, puissance dix !
Pourquoi ? Pourquoi ? La réponse s’écrit : péché, et se prononce esclave.
Que notre Roi glorieux nous aide à dénoncer, à condamner l’aspect déshumanisé de notre caractère,
de notre coeur, de notre ancienne nature.
Jésus, notre frère, notre ami, nous montre la nécessité d’avoir de la patience, de l’amour pour ceux qui nous entourent.
De la patience, 70 fois 7 fois…, dans le tort ; de la repentance, 70 fois 7 fois, du pardon,
de l’amour pour une société humaine, plus humaine. Sept… , c’est le minimum.
Paul, notre frère Apôtre, inspiré de Dieu, nous donne l’art et la manière de corriger le péché débridé, de cultiver la Dignité Humaine.
Comment ?
Supporter tout ! Porter sa croix. Supporter tout !
Pas toujours facile !
« Je me suis fait tout à tous, afin d’en sauver de toute manière quelques-uns » 1 Corinthiens 9.22
La grâce de Dieu a eu pour fruit d’humaniser un certain Saul de Tarse.
La grâce sans limite de Dieu toujours opère…
Des flambeaux dans le monde.
Des flambeaux dignes…, dignes représentants dans un monde indigne, déshumanisé par le péché.
Dans une étude sur Jésus, un dimanche, notre frère Arlin a dit : « le péché nous déshumanise ».
Cette phrase m’a fortement touché. « Déshumanise… » : ça donne un coup, n’est-ce pas ?
Sans humanité, évanouie la dignité ; évanoui le caractère humain.
L’auteur François Mauriac, auteur notamment de ‘Dieu et Mammon’, a écrit : « Je mourrai étouffé par ce monde déshumanisé ».
Peut-être aurait-t-il pu écrire : «Je me meurs sans Dieu, éloigné d’un monde sans accord,
étouffé par le conformisme, éloigné de la conformité à Dieu ». Peut-être… !
Bien que Mauriac soit mort, sa pensée conserve toute sa force dans notre époque déçue, époque d’un monde déchu, puissance dix !
Pourquoi ? Pourquoi ? La réponse s’écrit : péché, et se prononce esclave.
Que notre Roi glorieux nous aide à dénoncer, à condamner l’aspect déshumanisé de notre caractère,
de notre coeur, de notre ancienne nature.
Jésus, notre frère, notre ami, nous montre la nécessité d’avoir de la patience, de l’amour pour ceux qui nous entourent.
De la patience, 70 fois 7 fois…, dans le tort ; de la repentance, 70 fois 7 fois, du pardon,
de l’amour pour une société humaine, plus humaine. Sept… , c’est le minimum.
Paul, notre frère Apôtre, inspiré de Dieu, nous donne l’art et la manière de corriger le péché débridé, de cultiver la Dignité Humaine.
Comment ?
Supporter tout ! Porter sa croix. Supporter tout !
Pas toujours facile !
« Je me suis fait tout à tous, afin d’en sauver de toute manière quelques-uns » 1 Corinthiens 9.22
La grâce de Dieu a eu pour fruit d’humaniser un certain Saul de Tarse.
La grâce sans limite de Dieu toujours opère…
Des flambeaux dans le monde.
Des flambeaux dignes…, dignes représentants dans un monde indigne, déshumanisé par le péché.