Médiation de la semaine : Février 2020
Méditation de la semaine : dimanche 2 février 2020
L’âme découragée
Dans la Bible, être découragé peut être synonyme d’une perte d’espérance en Dieu, de souffrance face au monde ou d’une âme fatiguée. Chacune de ces trois choses peut nous arriver en tant que chrétiens aujourd’hui, à un moment où un autre de notre vie. Nous devons lutter contre ce découragement et ne pas le laisser nous emporter loin de Dieu : « Je connais tes œuvres (...), tu as de la persévérance, tu as souffert à cause de mon nom et tu ne t’es point lassé. » (Apocalypse 2.2,3).
Quand cela nous arrive, nous pouvons repenser à ce que Jésus a souffert, pour nous sauver : « Considérez, en effet, celui qui a supporté contre sa personne une telle opposition de la part des pécheurs, afin que vous ne vous lassiez point, l’âme découragée » (Hébreux 12.3). Revenons à notre premier amour : Il a vaincu le monde pour nous et a donné sa propre vie pour que nous puissions avoir la vie éternelle.
Nous devons aussi mettre notre confiance en Dieu, qui peut toutes choses : « L’Eternel est près de ceux qui ont le cœur brisé, Et il sauve ceux qui ont l’esprit dans l’abattement. » (Psaume 34.18) ; « Il donne de la force à celui qui est fatigué, Et il augmente la vigueur de celui qui tombe en défaillance. Les adolescents se fatiguent et se lassent, Et les jeunes hommes chancellent : Mais ceux qui se confient en l’Eternel renouvellent leur force. Ils prennent le vol comme les aigles : Ils courent, et ne se lassent point, Ils marchent, et ne se fatiguent point. » (Esaïe 40.29-31).
Rappelons-nous toujours des bienfaits que Dieu nous a accordés, regardons les bénédictions dont il a rempli nos vies, acceptons la souffrance qu’il nous donne et espérons en Lui car il y a avec nous bien plus que le monde.
« L’Eternel a donné et l’Eternel a ôté : que le nom de l’Eternel soit béni ! » (Job 1.21)
« Je me rappelle avec effusion de cœur quand je marchais entouré de la foule, Et que je m’avançais à sa tête vers la maison de Dieu, Au milieu des cris de joie et des actions de grâces d’une multitude en fête. Pourquoi t’abats-tu, mon âme, et gémis-tu au-dedans de moi ? Espère en Dieu car je le louerai encore ; Il est mon salut et mon Dieu. Mon âme est abattue au-dedans de moi : Aussi c’est à toi que je pense » (Psaume 42.4-6).